LES OUVRAGES

DE MOHAND CHIBOUT

 

 

OUVRAGES

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Les feuilles du figuier

Par Mohand Chibout

Récit

Pour saluer Camus

Par Mohand Chibout

Récit

Rester fidèle à Belcourt

Par Mohand Chibout

Récit

Derrière nos vitres colorées

Par Mohand Chibout et Claude Braun

Récit

Les feuilles du figuier

Par Mohand Chibout

Des montagnes kabyles à la ville portuaire de Marseille, des plaines du Forez à la haute Provence, c’est cet exil de mon père que j’ai voulu raconter. Celui d’un homme, parmi tant d’autres, appelé un jour à quitter sa terre natale pour, d’une rive à l’autre de la Méditerranée, tenter de construire sa vie.

Fort de fragments de ses souvenirs dont, à l’article de la mort, il voulut que je sois l’humble dépositaire, j’ai décidé que le moment était venu de me faire mémorialiste pour évoquer cette vie éprouvante, mais ô combien romanesque. Dans une quête filiale et personnelle, en creux, il y en a une autre : celle de rejoindre le singulier à l’universel.

MOHAND CHIBOUT a rédigé une thèse de doctorat en droit public en collaboration avec le Conseil de l’Europe sur le thème des libertés publiques. Avocat en exercice, il enseigne parallèlement, à l’Université de Provence.

Dans son premier récit, Rester fidèle à Belcourt (2014), il a rendu un hommage sincère à Albert Camus et à l’enfance pauvre de cet immense écrivain. Mohand Chibout continue, par l’évocation de son père, à tracer une œuvre reliant l’Algérie à la France et… la France à l’Algérie.

Pour saluer Camus

Par Mohand Chibout

Pour ceux qui croient que les enseignements du confinement, lié au coronavirus, sont derrière nous, cet opuscule n’est pas pour vous ! Pour les autres, ce fragment d’un récit d’une épidémie (à l’aune de ma relecture de La Peste d’Albert Camus) rappellera que nous devons toujours être acteurs et non témoins de notre existence face à toutes les adversités.

Dans La Peste, cet acteur agissant, et qui ouvre le chemin, prend les traits du docteur Rieux, à moins que, par scissiparité, ce ne soit Albert Camus lui- même…

MOHAND CHIBOUT a rédigé une thèse de doctorat en droit public en collaboration avec le Conseil de l’Europe sur le thème des libertés publiques. Avocat en exercice, il enseigne parallèlement, à l’Université de Provence.

Dans son premier récit, Rester fidèle à Belcourt (2014), il a rendu un hommage sincère à Albert Camus et à l’enfance pauvre de cet immense écrivain. Mohand Chibout continue, par l’évocation de son père, à tracer une œuvre reliant l’Algérie à la France et… la France à l’Algérie.

Rester fidèle à Belcourt

Par Mohand Chibout

L’histoire étant une guetteuse de tous les instants, elle nous apprend que, dans chaque homme, il y a un moment qui le révèle, le définit, le construit pour, définitivement, le singulariser.

Pour Albert Camus, ce moment va se nicher dans cette enfance pauvre à Belcourt, quartier populaire d’Alger rivé à la Méditerranée, au côté d’une mère aimante et analphabète, en l’absence d’un père trop tôt disparu. Intuitivement, Albert Camus l’a bien saisi et il aura passé sa vie d’homme à convoquer son enfance pour expliquer ses engagements, ses amitiés et, parfois, ses inimitiés.

Rester fidèle à Belcourt est une déclaration d’amour à la vie, comme seul un vrai camusien pouvait l’écrire, en puisant ses forces et ses valeurs de combat dans les méandres de son enfance et les racines de son histoire. Comme Camus, rester fidèle…

MOHAND CHIBOUT est né en 1963, à Château-Arnoux (Alpes-de-Haute-Provence), de parents kabyles venus d’Algérie (Bejaïa) travailler en France dès 1938 et faire souche en Provence. L’auteur est titulaire d’un double DEA d’histoire et de droit, d’un doctorat de Droit public rédigé en collaboration avec le Conseil de l’Europe. Avocat en exercice, il enseigne aussi à l’Institut universitaire de technologie d’Aix-Marseille.

Derrière nos vitres colorées

Par Mohand Chibout

Deux chapitres évoquent les victimes du fanatisme religieux, à l’étranger, en France. Chaque poème est une stèle à leur mémoire, pour que l’oubli ne soit pas le grand triomphateur.

Deux « intermèdes » consacrés à la beauté de la nature, sans doute l’autre face du monde. Les réflexions de Mohand Chibout, inspirées de l’oeuvre de Camus, complètent cette évocation et sont surtout un appel à la vigilance.

L’essayiste C. Pina écrit, à propos de « l’affaire Mila » : « On assiste à un rétablissement du blasphème par l’assassinat et la menace politique, et on finit par dire « Tant pis ».

C’est pour contribuer à conjurer cette « lâche soumission » que ce livre a été écrit. « À quatre mains », mais avec une seule et même conviction. »

CLAUDE BRAUN, professeur d’Histoire-Géographie retraité.

MOHAND CHIBOUT, avocat, chargé de cours de droit public à l’Université de Provence.